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21

Más horcas, es decir, más patíbulos, o más claramente horcas y horcas. Un diario oficial de Buenos Aires dijo de esta horda monstruosa que era una sociedad de hombres pacíficos y respetables.

 

22

Esto lo cuenta también el viajero inglés Elwes (N. del T.).

 

23

Tres fragatas: la Constitution, la Pomone, la Zénobie; cuatro corbetas: la Triomphante, la Meurthe, l'Aube, l'Egérie; dos bricks: l'Alcibiade y le Hussard; el barco a vapor Le Prony; dos cañoneras: l'Alouette y la Panthère. Tenemos, además, en la rada de Buenos Aires, la corbeta l'Astrolabe y el barco a vapor l'Archimède.

 

24

Actriz francesa del teatro del Gimnasio (París). 1824-1861 (N. del T.).

 

25

Jacques Lafitte, financista y estadista francés (1767-1844). Nada tuvo que ver con Montevideo (N. del T.).

 

26

«Admirable ville de Montevideo, s'écrie le poète Domínguez, blanche sirène de La Plata, ton sein est une ruche dont l'amour est le miel. Heureux celui dont les lèvres goûtent à ce miel, cité des amours, car tes filles sont les fleurs qui donnent ce doux breuvage». El autor no incluye en su libro el texto castellano de los versos que traduce al francés. El traductor de este libro al español ha creído conveniente dar el original castellano en el texto de la obra y la traducción francesa de Marmier como nota al pie de la página (N. del T.).

 

27

Vive en Buenos Aires un hombre dotado de una rara instrucción, que posee en el más alto grado el noble amor de los libros y que ha hecho una importante publicación: la Colección de documentos y memorias sobre el Río de la Plata, 6 vo. infolio. Es M. de Ángelis, italiano de nacimiento y antiguo ayo de los hijos de Murat. Pero este hombre está solo en su pasión por la ciencia como esos árboles de las regiones septentrionales, que por un accidente inexplicable, se levantan solitarios en medio de una árida región. Desde hace algunos años, Ángelis ha dejado el estudio en que se había solazado, para consagrar su pluma y su erudición, a una publicación en tres idiomas pagada por Rosas, bajo el título de Archivo Americano. Puedo así decir con verdad que no hay literatura en Buenos Aires.

 

28

«Je m'en vais vivre seul, pauvre étranger, sous un ciel de bronze, dans un pays lointain où, au lieu des tendres caresses de ma mère, je ne trouverai qu´une froide indifference.

»Mille fois alors je me dirai: Ah! que ne puis je revoir la lumière du soleil sous lequel j'ai grandi, tremper mes lèvres au ruisseau qui arrose le domaine paternel!

»Mais, quand je songe à ma patrie, son opprobe m'humilie. Ses enfants assoupis ne voient pas sa honte. Sur leur têtes reluit le poignard sanglant et leurs pieds sont enchainés.

»Adieu, doux ombrages du toit paternel, et vous tous, compagnons de mon heureuse enfance, adieu, mes amis, adieu Buenos Ayres. Cest l'adieu éternel».

 

29

«Soit que le ciel propice me prolonge la durée de ce temps que nous appelons la vie, ou soit qu'il lui plaise que ce jour soit pour moi le dernier;

»Affranchi d'un doute cruel, je descendrai sans crainte dans la nuit éternelle, je franchirai sans trouble les rives de l'Achéron.

Je paraîtrai devant mon juge sévère san l'effroi qui agite l'impie, car je n'ai point fait verser de larmes.

»Qu'il tremble, l'homme maudit, l'homme au coeur de pierre, qui, pouvant épargner la douleur, reste inflexible aux plaintes qui s'exhalent devant lui.

»L'indigne calomnie, qui m'a rendu la vie amère, m'a peint sous de noires couleurs.

»Mais comme dans les régions où l'on ne ment plus, le Dieu en qui j'ai mis mon espérance ne pourra faire peser sur moi le fardeau des malheurs d'un autre, mon âme n'a pas peur».

 

30

Asesinato del señor don Florencio Varela, por J. Mármol, Montevideo, 1849.