831
Uzunçarşili, I. H., Osmanli Tarihi; Istanbul'un Fethinden Kanunî Sultan Süleyman'in Ölümüne kadar, Türk Tarih Kurumu, [Histoire ottomane: De la conquête d'Istanbul jusqu'à la mort de Soliman le Magnifique], Ankara, 1949, t. II, pp. 321-322 et 475-476. (N. del A.)
832
Kemal Pacha Zadeh, op. cit., pp. 129-130. (N. del A.)
833
Veltwyck, 1546, Raisons et signes pour lesquels les Turcs veulent la paix, HHSA. (N. del A.)
834
Cité dans Durand De Villegaignon, N., Relation de l'expédition de Charles Quint contre Alger, traduction par Pierre Tolet, Avant-Propos, notice biographique notes et appendice par H. D. Grammont, A. Aubry-Paria, et Juillet-St. Lager, Alger, 1874. (N. del A.)
835
Büyüktuğrul, A., «Preveze muharebesine ilişkin belgeler» [Documents relatifs à la bataille de Preveze], TTK Belleten XLII, oct. 1978, n.º 168, pp. 629-665. Les Vénitiens sont informés de ces tractations, qui les poussent à faire défaut à la bataille de Preveze et à signer la paix, et les Français aussi: «Sire, je me suis enquis bien soingneusement de la praticque que font courir les Impériaulx avoir avec ledict sieur Barberousse et par cydevant vous ay donné advis [de] l'intencion qu'il m'a dit pourquoy le faisoyt, qu'estoit principallement pour regarder de leur pouvoir bailler quelque venue, ce que sera difficile» (Lettre du 14 mars 1544 de Polin à François Ier, cité dans Itinéraire de Jérôme Maurand d'Antibes à Constantinople (1544), éd. L. Dorez, Paris, Ernest Leroux, 1901, p. 316). (N. del A.)
836
Cf. UNAT, op. cit., p. 44. Topkapi Sarayi Arşivi n.º E 3911 et n.º E 8581. (N. del A.)
837
Celalzade, fº 209v-210r, cité par Necipoğlu, G., «Süleyman the Magnificent and the Representation of Power in the Context of Ottoman-Hapsburg-Papal Rivalry», The Art Bulletin, Septembre 1989, vol. LXXI, nº 3, p. 411. (N. del A.)
838
Itinerarium des Gesandschaft König Ferdinand I von Ungarn nach Konstantinopel 1530, Von Gevay, vol. I, part 4, p. 29 allemand, p. 76 latin; cf. Sanuto, LIV, 188, 225, 281; Setton, III, 349. (N. del A.)
839
Georges de Sirmie dit que Soliman, voyant la couronne de St. Etienne, ne la trouva guère précieuse, car elle n'était pas incrustée de pierres précieuses, mais très simplement décorée, et après l'avoir essayée et mis sur la tête de ses pachas (Ibrahim, Ayas et Mehmet) la donne à l'archevêque d'Esztergom, Paul, qui la remet à Jean Zapolya (Georgius Sirmiensis (Szerémi György), Epistola de Perdicione Regni Hungarorum (Emlékirata Magyarország Romlásáról, 1484-1543), Monumenta Hungariæ Historica, Pest, 1857, pp. 272-273). Peçevi: «cette couronne a une importance particulière pour les Hongrois. Tant que les rois n'ont pas ceint cette couronne, personne n'obéit à leurs ordres. Selon ce qu'ils racontent, cette couronne leur appartenait depuis trois mille ans; elle venait d'Alexandre le Grand qui l'avait passée à Nuşirevan qui leur avait laissée». (op. cit., pp. 105-106). Cf. Tauer, E, «Solimans Wiener Feldzug. Gekürzte Ubersetzung des Persischen Anonymus Selim Aga 769 und Aja Sofia 3392», in Archiv Orientalni, XXIV, 1956, pp. 560-561. (N. del A.)
840
Kemalpaşazade, repris sous forme synthétique par Solakzade (p. 137) (N. del A.)