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1

C'est certainement le cas de M. Karl Borinski, dont l'incompétence en matière de langue et de littérature espagnoles apparaît dès les premières pages de sa dissertation intitulée: Baltasar Gracian und die Hoflitteratur in Deutschland, Halle, 1894. Aussi son verdict sur la qualité du travail de Schopenhauer -«Schopenhauer treue und sorgfältige Verdeutschung des spanischen Originals des «Oráculo» (hersg. nach s: Tode, Lpzg., 1862) muss sowohl im Hinblick auf den Geist der spanischen Sprache und des Gracianschen Stils als nach seiten der Ausdrucksfähigkeit der deutschen Sprache als unübertrefflich bezeichnet werden»-, ne produit-il pas grande impression.

 

2

The Art of Wordly Wisdom by Balthasar Gracian, translated from the Spanish by Joseph Jacobs, London, Macmillan and Co., 1904 (Golden Treasury Series). La dédicace est datée du 26 octobre 1892, et au verso du titre on lit: «First Edition 1892. Reprinted 1904».

 

3

L'Heros de Laurens Gracian, gentil-homme arragonois. Traduit nouvellement en François. Par le S. Gervaise, medecin ordinaire du Roy, estably dans la ville et chasteau de Perpignan, Paris, 1645, in 8.º L'auteur, qui fut conduit à traduire Gracián parce que «la gravité des hommes et la retraite des femmes» lui rendaient à Perpignan «presque inaccessible la conversation des vivants», s'excuse en ces termes de n'avoir pas mieux réussi: «Que si tu me reproches que je l'ay accompagné [le Héros] d'une rudesse de langage qui n'a point de correspondance avec la Majesté de tant de belles pensées, je te prie de considérer que je suis environné de l'aspreté des Pirenées et que je vis dans un pays où les ouvrages de l'Académie sont aussi rares que les beaux jours y sont communs».

 

4

La première édition de L'homme de cour, traduit de l'espagnol de Baltasar Gracian par le sieur Amelot de la Houssaie, est de Paris, 1684, in-4.º

 

5

«Die französische Verfälschung», c'est ainsi que cet écrivain qualifie le travail d'Amelot (Baltasar Gracián, etc., p. 18).

 

6

«Las primeras traducciones [alemanas] del Oráculo, derivadas de la ya diluida y floja versión francesa de Amelot de la Houssaye, son verdaderos destrozos del original» (Baltasar Gracián. Estudio crítico, à la fin de l'édition du Héroe et du Discreto publiée à Madrid, en 1900, p. 252 [Biblioteca de filosofía y sociología]. Cette remarquable étude, pleine d'idées et d'informations, avait d'abord paru dans le numéro de janvier 1896 de la Revista crítica de historia y literatura españolas, portuguesas é hispanoamericanas.

 

7

Oracolo manuale e Arte di prudenza, cauata dagl'Aforismi, che si discorrono nell'Opre di Lorenzo Gratiano. Mandalo in luce D. Vicenzo Giovanni de Lastanosa. Diretto alla Nobiltà Venetiana, e dedicato all'Illustriss. et Eccellentiss. Sig. Leonardo Pesaro, procuratore di S. Marco, e riformatore dello Studio di Padova. In Venetia, MDCLXXIX. Presso Gio. Giacomo Hertz, vol. in-12.º de 12 ff. prél. et 332 pages. La dédicace de l'éditeur Hertz ne mentionne pas l'auteur de cette traduction et ne contient rien d'intéressant. Le nombre des maximes est ici de 298 au lieu de 300, parce que le traducteur n'a pas numéroté la.première et qu'il a omis le numéro 97 (Conseguir y conservar la reputación). Il y a aussi quelques articles intervertis.

 

8

Litterarische Notiz zu Gracians Handorakel der Weltklugkeit, à la fin de la traduction de Schopenhauer, dans l'Universal-Bibliothek de Reclam (n.os 2771-72, 2.e édition). Je me sers bien entendu, dans le présent travail, de ce texte de Reclam publié par Eduard Grisebach, le seul qui ait été revu sur le manuscrit de l'auteur conservé dans la Bibliothèque royale de Berlin.

 

9

«Seine Uebersetzung ist unvollkommen und fehlerhaft, weil er das Original, welches sehr schwer ist, nicht gehörig verstand» (Litterarische Notiz).

 

10

Dans deux passages de ses oeuvres philosophiques, Schopenhauer a aussi cité une édition des Obras, Anvers, 1702. Voir Arthur Schopenhauer's Sämmlliche Werke, éd. Reclam, t. III, p. 370, et t. IV, p. 514.

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