111

Herrera, Anot. Garcilaso, canc. 1, y sonet. 12.

112

Stor. della Poes., lib. 2, dist. 4, cap. 5.

113

Ya no es raro, sino muy común, habiéndose insertado en la Colección de todas las obras de Lope que publicó don Antonio de Sancha [Madrid, 1776 -1779].

114

Aristóteles, Poet. secundum Benium, partic, 26.

115

Benius, loc. cit. Dacier, Poet. remarq. sur le chap IV, núm. 37.

116

Spoudaias.

117

Hedysmeno logo.

118

Arist., Secund. Benium. Poet., cap. VII, particul. 52 et seq. Dacier, Poet., chap. IX., remarq. n. 7 et seq.

119

Dacier,loc. cit., n. 12. La verité du point d'histoire que le poète entreprend de traiter n'exclut pas l'art du poète, qui à toujours à disposer son sujet et à en dresser le plan, de manière que la fable soit toujours l'âme du poème; c'est cette économie, et cette juste liaison des choses que constitue proprement le poème dramatique, et c'est ce qui ne coûte pas mois à faire dans les sujets véritables, que dans ceux qui sont feints.

120

Paul. Benius, In Poet. Aristot., partic. 90, pág. 433. In iis quae ab aliis Tragicis iam trita usurpamus, supervacaneum videri posset, atque adeo ineptum, argumentum sine nominibus excipere, et Oedipi, verbi gratia, fabulam, rejectis Oedipi, Jocastae Creontisque nominibus, prius pertexere, quae tamen mox reddenda illi, et apponenda sint.