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51

Quintil., Instit., lib. 4 cap. 3. Fallit voluptas, et minus longa quae delectant videntur; ut amoenum ac molle iter etiam si est spatii amplioris, minus fatigat, quam durum, arduumque compendium.

 

52

Bossu., Poèm. épiq. lib. 6, cap. 6.

 

53

Muratori, Perf. Poes. Ital., par. 1, lib. 1, cap. 6.

 

54

O Sasso amato, ed ornorato tanto / Che dentro hai le mie fiamme, e fuori il pianto.

 

55

...O tu che porte / Teco parte di me, parte ne lassi, / O prendi l'una, ò rendil'altra, ò morte / Da insieme ad ambe, arresta, arresta i passi.

 

56

Quint., Instit., lib. 6, cap. 3. Nam cum irasci, favere, odisse, misereri coeperunt, agi iam rem suam existimant, et sicut amantes de forma iudicare non possunt, quia sensum oculorum premit amor; ita omnem inquirendae veritatis rationem judex amittit, occupatus affectibus aestu fertur, et velut rapido flumini obsequitur.

 

57

Eneid., lib. 9, trad. de Gregor. Hernández.

 

58

S. Agust., Confess., lib. 3, cap. 2.

 

59

Lamy, Rhetor, ou l'Art de parler, liv. 2, chap. 8. Les hommes sont liés les uns avec les aultres par une mereveilleuse sympathie, qui fait, que naturellement ils se comuniquentm leurs passions... Nous nous revêtons des sentiments et des affections de ceux avec qui nous vivons, à moins qu'il n'y ait quelque obstacle qui arrête le cours de la nature; et cela se fait, parce que notre corps est tellement disposé que la seule idée d'une personne en colère, remue notre sang et nous donne quelque mouvement de colère; une personne qui fait paraitre de la tristesse sur son visage, donne de la tristesse... C'est un effect merveilleilleux de la sagesse de Dieu, qui nous a fait premièrement pour Lui, et en second lieu les uns pour les autres. Car comme les passions font agir l'âme pour rechercher le bien et éviter le mal, la nature par cette sympathie nous porte à combattre le mal, qui attaque ceux avec qui nous vivons, et à leur procurer le bien qu'ils southaitent.

 

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Long., De Sublim., cap. 17. trad. de Boileau.