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11

Il a traduit en particulier des Oeuvres de G. Ohnet, d'A. Belot et La fortune des Rougon (Voir J. F. Botrel, El Cosmos Editorial (1883-1900) publié dans l'Hommage à Antonio Vilanova, Universidad de Barcelona.

 

12

La Regenta, ed. cit., t. II, p. 280. A l'origine de ce roman, on trouve une zarzuela de José Rogel, du même titre.

 

13

Il faut signaler, néanmoins, les rééditions de El Escándalo, de El sombrero de tres picos (7.ª et 8.ª ed.) de El Niño de la bola et celles de Pepita Jiménez (7e ed. en 1881 et 8e ed. en 1884).

 

14

En 1886, G. de Frezals, alias F. B. Navarro, dans son article de La Revue Britannique (1886) sur La Regenta, à l'usage du public français donc, signale le développement en cours du genre romanesque en Espagne et juge «excessive» la production en 1885 (pour sa part il ne retient que six titres).

 

15

On peut renvoyer aux deux attitudes extrêmes: celle de Galdós qui considère comme un défaut «las dimensiones» de La Regenta et celle d'Alfredo Vicenti qui considère comme un mérite le fait pour Clarín d'avoir «alientos y empuje... para trasponer con próspera fortuna lo que podríamos llamar el cabo de las doscientas. No llegara La Regenta -y nada pierde con eso- a los límites del infolio; mas no se quedará tampoco en los del 4.º menor, que son por el momento los que privan» (apud María José Tintoré, «La Regenta» de Clarín y la crítica de su tiempo, Barcelona, Ed. Lumen, 1987, p. 311 et 132).

 

16

Voir la liste de ces collections dans mon étude «España, 1880-1890: el naturalismo en situación» (Naturalismo y realismo en España, Barcelona, Anthropos, 1988).

 

17

Voir N. Clemessy, Les contes d'Emilia Pardo Bazán. Essai de classification, Paris, Centre de Recherches Hispaniques, 1971.

 

18

Voir par exemple des termes ou expressions comme «tipos» (y compris chez Clarín dans sa lettre à l'évêque d'Oviedo du 11/05/1885), «cuadros» ou «cuadros de costumbres», «retratos», «pintura de las costumbres», «novela de costumbres», «estudio de costumbres» appliqués à La Regenta (apud María José Tintoré, op. cit., passim).

 

19

La Regenta aurait, en effet, pu être une «novela asturiana», comme il existait des «novelas madrileñas», «catalanas» ou «andaluzas».

 

20

Il y a également un cas de «novela arqueológica».