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D'ailleurs, si Arlequin ira vivre sa vie loin des paysans, Perico restera finalement chez les payos puisqu'il y trouvera encore un bon emploi et des braves gens qui ne lui en voudront pas.

 

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J. A. Maravall, «La idea de felicidad en el programa de la Ilustración» [1975] en Estudios de la historia del pensamiento español (siglo XVIII) (Introduction et compilation de M.ª Carmen Iglesias), Madrid, Mondadori, 1991, p. 184.

 

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Le pertinence de ce dialogue ne dut pas échapper au censeur, qui fit totalement supprimer la scène en question (voir le manuscrit de la Biblioteca Nacional de Madrid).

 

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Pour plus de détails, lire le Prólogo qu'il écrivit en 1786 pour l'édition d'une partie de son oeuvre (Teatro o Colección de los Saynetes y demás obras dramáticas de D. Ramón de la Cruz y Cano, entre los Arcades Larisio, Madrid, Imprenta Real, 1786-1791, 10 tomes) et qui se trouve aussi reproduit dans l'édition de J. M.ª Sala Valldaura.

 

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Issu d'une famille d'érudits et de bibliophiles (son père Jean-Baptiste Tenant de La Tour -1779-1862- avait publié des ouvrages sur Turgot, Rousseau, des éditions de Chapelle, Malherbe, Racan... et avait été le bibliothécaire de Louis-Philippe), Antoine Tenant de Latour naquit à Saint-Isséix en 1808 et mourut à Sceaux en 1881. Cet étudiant de la promotion de 1826 de l'École Normale fut précepteur du duc de Montpensier en 1832 et devint son premier secrétaire en 1843. Homme de lettres et poète, il publia abondamment et fut également un grand amoureux de l'Espagne et de sa littérature qu'il fit connaître à travers de très nombreux essais et traductions (Calderón de la Barca, Fernán Caballero, Antonio Artesano, Padre Juan de Mariana, J. Mal de Lara, A. de Solís, Hartzenbusch, Ramón de la Cruz...). Le 9 mai 1858, il fut reçu à la Real Academia de Buenas Letras de Seville.

 

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Ramón de la Cruz, Saynètes, traduits de l'espagnol et précédés d'une introduction, par Antoine de Latour, Paris, Michel Lévy Frères, libraires édit.; -Impr. Simon Maçon et Comp., 1865, 1 vol., 4°, 364 p. (Bibliothèque Nationale de Paris, cote Yg 3327.).

 

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«Ramón de la Cruz. Sa vie et ses oeuvres», éd. cit., pp. 1-37. Il s'agit d'une étude très consciencieuse sur l'auteur dont la majeure partie est d'une grande justesse; son sens critique, très aigu, ne s'éloigne que très peu d'une certaine lecture actuelle de l'oeuvre de Cruz.

 

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Éd. cit., pp. 59-77. Les autres sainetes sont: Los hombres con juicio, La Petra y la Juana, Las castañeras picadas, El renegado y los zapateros, Ea viuda hipócrita y avarienta, El mesón por Navidad, El Rastro por la mañana, La pradera de San Isidro, La maja majada, Los fastidiosos. Pagar la burla a buen precio, Los cómicos en Argel, Los hombres solos, La presumida burlada, La boba y la discreta, Las damas apuradas, Las Señorías de moda, El petimetre, La tornaboda en ayunas, Las botellas del olvido.

 

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Il propose alors de traduire La oposición a cortejo, El peluquero soltero, El peluquero casado, El peluquero viudo, Los maridos engañados y desengañados, La comedia casera, La comedia de Maravillas, El sombrerito, Las superfluidades, El sarao, El reverso del sarao, La visita del duelo, El sueño, et conclut «Voilà un second recueil tout fait et qui ne serait guère moins gros que le mien. J'ai pris, je l'avoue, la fleur du panier» (op. cit., pp. 32-33).

 

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Il le cite dans son Introduction et sa traduction est si soignée que les variantes du texte nous le confirment.

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