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41

José Esteban et Anthony N. Zahareas. Los proletarios del arte-Introducción a la bohemia. Madrid: Celeste Ediciones, 1998, p. 10.

 

42

«El "modernismo" de la bohemia germinalista conjuga la idea de belleza con la idea de justicia social sin ninguna clase de incompatibilidades» (Aznar Soler. Op. cit., p. 27).

 

43

«-Aquello que comienza: “soy un poeta embrujado por rosas lujuriosas...” -murmuró Verónica, cohibida. -¡Pss! Es un soneto que escribí al correr de la pluma por ganarme diez duros: cincuenta pesetas de lirismo-. Teófilo dejaba caer las palabras como el árbol demasiadamente enfrutecido deja caer el fruto, con absoluta indiferencia». Ramón Pérez de Ayala. Troteras y danzaderas. Madrid: Biblioteca EDAF, 1966, p. 132.

 

44

Ce poème aurait très bien pu être écrit par Emilio Carrere ou Francisco Villaespesa, selon Andrés Amorós dans Vida y literatura en «Troteras y danzaderas». (Madrid: Castalia, [1973]).

 

45

Ce sonnet ne ferait-il pas écho à celui de Paul Verlaine (1844-1896) extrait de Parallèlement (1889), significativement intitulé «Caprice»: «O poète, faux pauvre et faux riche, homme vrai, / Jusqu'en l'extérieur riche et pauvre pas vrai, / (Dès lors, comment veux-tu qu'on soit sûr de ton coeur? ) / Tour à tour souple drôle et monsieur somptueux, / Du vert clair plein d'espère au noir componctueux, / Ton habit a toujours quelque détail blagueur. / Un bouton manque. Un fil dépasse. D'où venue / Cette tache - ah ça, malvenue ou bienvenue? - / Qui rit et pleure sur le cheviot et la toile? / Noeud noué bien et mal, soulier luisant et terne. / Bref, un type à se pendre à la Vieille Lanterne / Comme à marcher, gai proverbe, à la belle étoile. // Gueux, mais pas comme ça, l'homme vrai, le seul vrai, / Poète, va, si ton langage n'est pas vrai, / Toi l'es, et ton langage, alors! Tant pis pour ceux / Qui n'auront pas aimé, fous comme autant de tois, / La lune pour chauffer les sans femmes ni toits, / La mort, ah, pour bercer les coeurs malechanceux. // Pauvres coeurs mal tombés, trop bons et très fiers, certes / Car l'ironie éclate aux lèvres belles, certes, / De vos blessures, coeurs plus blessés qu'une cible, / Petits sacrés coeurs de Jésus plus lamentables, / Va, poète, le seul des hommes véritables, / Meurs sauvé, meurs de faim pourtant le moins possible». Parallèlement: c'est ainsi que s'est construit l'art de vivre et l'art d'écrire bohème, parallèlement à la culture officielle, au canon, à l'idéologie dominante. Parallèlement: c'est ainsi que naît le caprice.

 

46

Emilio Carrere. Antología. Clásicos Madrileños, 19. Ed. José Montero Padilla. Madrid: Editorial, 1999, p. 356.

 

47

Ibid., p. 375.

 

48

Alfonso Camín. Entevistas literarias. Gijón: Llibros del Pexe, 1998, p. 80.

 

49

Ibid., p. 79.

 

50

Il déclarera même à José María Carretero dit 'El Caballero Audaz': «Yo he satirizado ferozmente a los grotescos polichinelas de la bohemia». El Caballero Audaz. Galería (Más de cien vidas extraordinarias contadas por sus protagonistas y comentadas por el Caballero Audaz). Tome II. Madrid: Ediciones Caballero Audaz, 1943, p. 377.