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1

Voir Botrel, 2001, 49-50 et Botrel, Salaün, Etienvre (2009).

 

2

À comparer, par exemple, aux auteurs étudiés par Christine Rivalan-Guégo dans Fruición-ficción (2008).

 

3

Il est intéressant d'apprendre que sur 22210 romans produits par 1900 auteurs, 85% d'entre eux sont des «novelas de kiosco», et que sur les 3219 romans «canoniques», 501 d'entre eux sont publiés à compte d'auteur par 368 auteurs. On peut donc dire, selon ce qu'on prend en compte, que la production annuelle de romans en Espagne a varié entre 1960 et 1980, entre 1057 et 126.

 

4

Bibliografía Española est certainement loin d'enregistrer toute la production romanesque et ses critères de classement -variables- laissent la place à une marge d'erreur.

 

5

En 1905:202 «novelas», sur 852 titres de «Literatura»; en 1906: 347 «novelas»; en 1907:358; en 1909:299. En 1917, dans la rubrique «Bellas artes», on trouve plus de 80 œuvres dont le titre ou sous-titre inclut la mention «novela» ou «novelas» (on trouve aussi, par ailleurs, la mention «cuento», «cuentos», «escenas», etc.). Elle sont produites par 59 auteurs dont beaucoup sont loins d'être encore très connus aujourd'hui, comme Eduardo de Autran auteur de La rebelde, El renegado o Y la vida los unió, F. Pérez Capo, auteur de La brutalidaz de Bruto, «novela cómica», ou encore Álvarez Puente, l'auteur de Almas perdidas, «novela».

 

6

En 1907, sur les 358 romans répertoriés, au moins 216 (60%) sont des traductions (Carlota M. Braemé alias Bertha M. Clay) est de loin l'auteur le mieux représenté); en 1911, les traductions représentent 30% des romans annoncés.

 

7

El misterio del Transvaal et cinq livraisons de La busca dans La novela por entregas (Madrid 1927), prévue «para obras de eminente valor literario que no alcanzan las librerías, y editadas en tomos de cinco pesetas, la circulación que nosotros pretendemos, haciéndolas asequibles al gran público» (Alonso, 2007, 205-6).

 

8

Dans sa «Biblioteca de Grandes Novelas», en 1910, Sopena propose de nombreuses œuvres d'auteurs comme Sue, Dumas, Féval, Ponson du Terrail, Montepin, Hugo, Henri Germain, Marc Mario, Pierre Decourcelles, Pierre Dax (La Envenadora), Maxime Villemer (Amor del diablo), Gustave Guitton (Los Apaches de París), etc., à côté de El periquillo sarniento.

 

9

Pour la période 1907-1957, ce sont plus de 7000 titres (minimum) que les 167 collections de «novela corta» ont proposé aux lecteurs.

 

10

En examinant le Catálogo de obras modernas de Pueyo, pour les seules lettres M à Z, on peut trouver, à côté de Gabriel Miró, Felipe Sassone, Felipe Trigo, Santiago Rusiñol, Pedro de Répide et Azorín, les noms de Estanislao Maestre, P. Miranda Carnero, Fernando Mora, Isaac Muñoz, Adelardo Ortiz de Pinedo, Rafael Pamplona Escudero, Ricardo Pedrosa, José Quilis Pastor, Fernando Ramos y Marcelino Bravo (auteurs de Alma y carne. Novela extremeña, Badajoz, 1906), Luis Rodríguez Embil, Emiliano Ramírez Ángel, Antonio Suárez de Puga (Pan y centeno. Novela gallega, 1906), José de Siles, Rodolfo de Salazar, qui appartiennent aussi au personnel du roman.