341
Ibid., p. 196. (N. del A.)
342
Ibid., pp. 197-198. (N. del A.)
343
J. J. ROUSSEAU, Émile cit., p. 342: «Homme, ne cherche plus l'auteur du mal; cet auteur c'est toi-même... Le mal particulier n'est que dans le sentiment de l'être qui souffre; et ce sentiment l'homme ne l'a pas
reçu de la nature, il se l'est donné»
. (N. del A.)
344
J. MELÉNDEZ VALDÉS, Poesías, p. 222. (N. del A.)
345
J. J. ROUSSEAU, Émile cit., p. 348: «Être des êtres, je suis parce que tu es; c'est m'élever à ma source que de te méditer sans cesse. Le plus digne usage de ma raison est de s'anéantir devant toi; c'est mon, ravissement d'esprit, c'est le charme de ma faiblesse, de me sentir accablé de ta grandeur... En suivant toujours ma méthode, je ne tire point ces règles des principes d'une haute philosophie, mais je les trouve au fond de mon coeur écrites par la nature en caractères ineffaçables. Je n'ai qu'à me consulter sur ce que le veux faire: tout ce que je sens être bien est bien, tout ce que je sens être mal est mal: le meilleur de tous les
casuistes est la conscience»
; e piú avanti (pp. 354-355): «Conscience! Conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillibile
du
bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'egarer d'erreurs en erreurs à l'aide d'un entendement sans règle et d'une raison sans principe»
. (N. del A.)
346
J. MELÉNDEZ VALDÉS, Poesías, pp. 257-259. (N. del A.)
347
J. J. ROUSSEAU, Émile cit., p. 343: «Plus je rentre en moi, plus je me consulte et plus je lis ces mots écrits dans mon âme: Sois juste et tu seras beureux»
, e più avanti (p. 351): «La sérénité
du juste est intérieure; son ris n'est point de malignité, mais de joie: il ne porte la source en lui-même»
. (N. del A.)
348
J. MELÉNDEZ VALDÉS, Poesías, pp. 253-255. (N. del A.)
349
Per l'unione del concetto di virtù al concetto d'immortalità e di premio eterno riservato al giusto, cfr.: J. J. ROUSSEAU, Émile cit., p. 343: «Si l'âme est immatérielle, elle peut survivre au corps; et si el
le lui survit, la Providence est justifiée. Quand je n'aurais d'autre preuve de l'immatérialité de l'âme que le triomphe du méchant et l'oppression du juste en ce monde, cela seul m'empêcherait d'en douter. Une si choquante dissonance dans l'harmonie universelle me ferait chercher à la résoudre. Je me dirais: Tout ne finit pas pour nous avec la vie, tout rentre dans l'ordre à la mort»
. E poco più avanti (p. 345): «Je ne dis poin
t que les bons seront récompensés; car quel autre bien peut attendre un être excellent que d'exister selon sa nature? mais je dis qu'ils seront heureux, parce que leur auteur, l'auteur de toute justice, les ayant faits sensibles, ne les a pas faits pour souffrir; et que, n'ayant point abusé de leur liberté sur la terre, ils n'ont pas trompé leur destination par leur faute: ils ont souffert pourtant dans cette vie, ils seront donc dédommagés dans une autre»
. I motivi accennati si ritrovano anche in altre poesie di Meléndez Valdés: cfr. Oda XXVI: A la Musa (Poesías, p. 238); Oda XXXII: Los consuelos de la virtud (Poesías, pp. 244-245) ove cosí viene raffìgurata la condizione del virtuoso:
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(N. del A.)
350
J. MELÉNDEZ VALDÉS, Poesías, p. 242. (N. del A.)