1
Benavente, Jacinto,«Emilio Zola», Germinal, 13, le 30 juillet 1987, p. 1.
2
Bark, Ernesto, Socialismo Positivo, Madrid, Biblioteca Germinal, 1901.
3
Fuente, Ricardo, «De tal palo tal astilla», Germinal, 4, le 24 mai 1897, p. 9.
4
Ibidem.
5
Ibidem.
6
Ibidem.
7
Joaquín Dicenta est né en 1862, Antonio Palomero en 1869, Eduardo Zamacois en 1873, Félix Limendoux en 1870, Ricardo Fuente en 1866...
8
[...] Il capte, dans l'espace multiple de sa signature, toutes les places discursives, toutes les poses rhétoriques et tous les lieux d'action idéologique... (il est) un écrivain polymorphe qui module son discours en fonction du genre adopté et du public visé, Kaempfer, José, Emile Zola, d'un naturalisme pervers, Paris, José Corb, 1989, p. 10 [De même que nos jeunes écrivains, dans sa jeunesse, Zola aussi cherche ses entrées: il fut rédacteur de prospectus publicitaires pour Hachette et librettiste attitré du compositeur Alfred Bruneau].
9
Blasco Ibáñez, Vicente, Emilio Zola. Su vida y su obra, Valencia, Libr. Samper, 1902, p. 196.
10
Exception faite de son exil en Angleterre entre 1898-1899 et ses voyages est Italie, d'où sa famille était originaire. Sur ce point: Ternois, René, Zola et ses amis italiens, Paris, Société Les Belles Lettres, 1967.