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Rizzi, Armido, El mesianismo en la vida cotidiana, Barcelona, Herder, 1986, p. 8.

 

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Charles, Christophe, Naissance des intellectuels, 1880-1900, Paris, Ed. de Minuit, 1990, chap. 3, pp. 95-137; et Mainer José Carlos, La edad de plata, Madrid, Cátedra, 1983.

 

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Pagès, Alain, Émile Zola, un intellectuel dans l'affaire Dreyfus, Paris, Librairie Séguier, 1991, p. 101. Miquel, Pierre, L' Affaire Dreyfus, Paris, PUF, 1961, p. 44.

 

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Zola connaissait bien le grand public. D'après Joseph Jurt, «Zola reconstruisit toute l'Affaire Dreyfus à l' aide des documents qui lui étaient accessibles, mais aussi par son imagination créatrice. Son Évocation des faits est aussi orienté par des critères esthétiques, par son sens du contraste qui lui faisait parfois sacrifier des nuances à des antithèses tranchantes». «Il grossissait, caricaturait même, remarque Colette Becker, pour frapper les masses et les réveiller; le romancier reconstruisait l'Affaire, il la mettait à la portée de tous, il la faisait comprendre, dans "L'engagement de Zola pour Dreyfus et la logique du champs littéraire"», Dezalay, Auguste (éd.), Zola sans frontières, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 1996, p. 42.

 

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Comme le souligne Christophe Charle, la croyance dans la science «[...] a engendré la croyance dans le savant [...] dans toute la société, phénomène nouveau dont le seul équivalent est le culte du philosophe où de l'homme de lettres dans le public lettré du XVIIIème siècle» Op. cit., pp. 28-36.

 

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Zola, Émile, Lettre à P. Billiet, le 7 janvier 1900, dans sa Correspondance, t. 49, p. 860. Cité par Jurt, Joseph, Op. cit., p. 43.

 

17

Zola, Émile: «El trabajo anónimo en la prensa», Germinal, 2-3, le 7 et 14 avril 1899, pp. 3-4 et p. 6. Voir à ce sujet: Bark, Ernesto, La prensa española. Estudio comparativo de un cosmopolita, Madrid, Biblioteca Hispano-alemana, 1889.

 

18

Zola, Émile: «Cuentos de todo el mundo: Cómo se muere el obrero», Germinal, 7, le 14 juin 1897, p. 8; «La miseria», Germinal, 25, le 22 octobre 1897, p. 8; «La Roma resucitada», Germinal, 32, p. 4; «París», Germinal, 35, le 31 décembre 1897, p. 4; «Germinal», Germinal, 1 a 3, le 24 mars et le 14 d'avril 1899, p. 7. Les titres de Zola sont aussi repris: Pieltain, Ricardo, «Crónica de la Exposición: La Bestia Humana», Germinal, 6, le 11 juin 1897, p. 2.

 

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Elle était dirigée par Eduardo Barriobero. Camilo Bargiela, Ciges Aparicio, Felipe Trigo y Francisco Villaespesa y écrivent. Cette série de Germinal est actuellement perdus Pérez de la Dehesa, Carlos, «Zola y la literatura finisecular», Hispanic Revue, 39, 1971, pp. 49-59.

 

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Elle est publiée aussi en 1899, 1902 et 1903. Voir à ce sujet: Carlos Pérez de la Dehesa, El grupo Germinal, una clave del 98, Madrid, Taurus, 1970, ainsi que le troisième volume de ma thèse Ernesto Bark, un propagandiste de la Modernité, Lille, Service National de reproduction de thèses, 1996.

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