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231

Cité par J.-F. Botrel, «Benito Pérez Galdós, ¿escritor nacional?». In: Actas del primer congreso internacional de estudios galdosianos. Ediciones del Excmo. Cabildo Insular. 1977, p. 73. (N. del A.)

 

232

Sur ce point, voir Jacquet Beyrie, op. cit. p. 168. (N. del A.)

 

233

De succès immédiat de la 3ème série est souligné par F. C. Sáinz de Robles dans son Introduction aux Obras Completas de Galdós (Madrid, Aguilar, 1950, t. I, p. 81): en deux ans, écrit-il, on a vendu plus de 50.000 exemplaires des 10 tomes, quantité invraisemblable pour ce qu’était, dans l’Espagne de cette époque, la demande en lecture. Si nous appliquons le rythme calculé de 126 à ces deux ans et aux 10 tomes, on trouve plus de 30.000 exemplaires vendus ce qui, étant donné que notre rythme est calculé sur 7 ans rend tout à fait vraisemblable le chiffre indiqué par Sáinz de Robles. (N. del A.)

 

234

Dans le document n.º 7, on peut percevoir, visuellement, les différentes politiques d’édition: pour les deux premières séries, les éditions sont rapprochées et régulières jusqu’en 1970, tandis que pour les trois dernières les points noirs représentatifs des éditions sont espacés, de plus en plus espacés jusqu’à leur disparition en 1953. Ver nota 4. (N. del A.)

 

235

Le rythme de La Primera República est de 102 de 1911 à 1924 et de 23 de 1924 à 1935, celui de De Cartago a Sagunto de 105, de 1911 à 1931, et celui de Cánovas de 98, de 1912 à 1929, et 56, de 1929 à 1935 (83 de 1912 à 1935). (N. del A.)

 

236

Cette chute affecte également les romans qui ont alors un rythme six fois moins élevé que précédemment, tout en conservant la hiérarchie interne (Cf. document n.º 17). Ver nota 4. (N. del A.)

 

237

Voir dans le document n.º 9 les chiffres des éditions de 1906 à 1934 et, par déduction, le nombre d’exemplaires vendus: environ 15.000 pour El terror de 1824 et 19.000 pour Siete de Julio. (N. del A.)

 

238

Selon le Registro de trabajos entregados a la imprenta. Libro II. 1-09-1930 - 4-04-1939, les 60.000 couvertures imprimées correspondent exactement au nombre d’exemplaires tirés par Hernando de février 1933 à mai 1935 (cf. document n.º 4). (N. del A.)

 

239

Le cas de Trafalgar est un peu exceptionnel dans la mesure où il s’agit du premier tome des Episodios nacionales, le livre qu’on achète et lit, même si on abandonne par la suite la série, mais aussi un livre qu’il faut avoir lu, classique, en raison de l’événement dont il traite, une défaite dont retentissent les leçons d’histoire de l’enseignement primaire. Ces facteurs conjugués font que Trafalgar a un rythme de vente général plus élevé, de 23%, que la moyenne de la 1ère série (18% seulement jusqu’en 1939), avec une tendance à l’accentuation de cette différence à partir de 1914 (71 entre 1907 et 1914; 129 entre 1914 et 1939) mais aussi les mêmes creux que l’ensemble de la série (104 entre 1904 et 1909, 67 de 1941 à 1971).

Les tentatives pour isoler le comportement éditorial d’autres titres des E. N. s’avèrent assez décevantes. Avec beaucoup de précautions, on pourrait peut-être dire qu’après 1940, Zaragoza atteint pratiquement le niveau de Trafalgar (67), avant et surtout après 1953, même en nombre d’exemplaires. Mais avec un message similaire (résistance de l’Espagne assiégée, valeurs héroïques, sentiment anti-français), Gerona n’a pas un comportement remarquable.

Dans la 4ème série, on remarque aussi un comportement légèrement différent de La de los tristes destinos et de Prim dont les rythmes sont supérieurs à la moyenne de la série (76 et 69 respectivement contre 60), cette supériorité étant plus affirmée avant 1930-1940 (86 et 97/60) qu’après. Y aurait-il un engouement particulier pour ces titres? Dans la 5ème série c’est De Cartago a Sagunto qui semble le plus acheté: 105 contre 87 à l’ensemble de la série jusqu’en 1931-1935. Y-a-t-il un lien entre la thématique de ces titres et leur succès un peu plus accentué? Il faudrait trouver des confirmations en dehors des chiffres... Car force est de constater qu’en règle générale, les lecteurs ne semblent pas avoir isolé les titres de la série qui est conçue et considérée comme un roman à épisodes. Bien sûr on trouvera -et c’est logique- des rythmes de vente un peu plus élevés pour les premiers titres (ainsi de 1873 à 1971 La Corte de Carlos IV, deuxième titre de la 1ère série, a un rythme de 76 et La batalla de los Arapiles (dernier de la série) un rythme de 66, et dans la 2ème série El equipaje del Rey José est à 62 quand Un faccioso más... est à 58. Il y a toujours des lecteurs à abandonner la série en cours de route, mais on remarquera que, en tout état de cause, ces différences sont minimes, ce qui confirme l’attitude et la pratique du public (des acquéreurs) à l’égard de séries d’Episodios considérées comme un tout. Après 1940, d’ailleurs, les tirages se font pour tous les titres, à la même date et au même niveau, ce qui suggère des achats en bloc (pour des bibliothèques par exemple). (N. del A.)

 

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Entre 1936 et 1939 on remarque une diminution du rythme qui devient, sauf pour Trafalgar, Cádiz et Juan Martín el Empecinado, inférieur à la moyenne jusqu’en 1939. (N. del A.)