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Lo censura tanto en su teatro (verbigracia, L’Héritier de village) como en numerosas páginas de sus Journaux.

 

72

No queremos pisar el resbaladizo terreno de la autobiografía recordando que tuvo una hija que tomó el velo, porque sus escritos teóricos hablan por sí solos y porque este tipo de crítica suele conllevar muchas sorpresas inútiles, como en el caso del mismo Moratín y ¿qué decir de Jean-Jacques Rousseau? Acerca de la familia de Marivaux puede consultarse el artículo de F. RUBELLIN: «Du nouveau sur la fille de Marivaux», Revue Marivaux, 2, 1992, pp. 5-13. Por otra parte, hay en Le Spectateur français (Douzième Feuille) un texto paradigmático acerca de la educación de las chicas. Escrito diez años antes que L’École des mères (es del 6 de diciembre de 1772), se trata de la famosa carta de la jovencita de «seize à dix-sept ans» que se queja de la educación represiva y obscurantista que le impone su madre: sus sentimientos son, punto por punto, los de Angélique (Journaux et oeuvres diverses, ed. F. Deloffre y M. Gilot, París, Classiques Garnier, 1988 [1969], pp. 176-179).

 

73

F. RUBELLIN, ed. cit., Préface, p. 7.

 

74

F. RUBELLIN, ibid., Notice, p. 17.

 

75

F. RUBELLIN, ed. cit., préf. cit., p. 7.

 

76

Ibid., Notice, pp. 22-23.

 

77

Para Marivaux, «le mariage est la plus sérieuse affaire sociale, à régler comme telle selon la règle sociale admise, car cela convient, est convenable» (M. DEGUV, La machine matrimoniale ou Marivaux, París, Gallimard, 1981, pp. 87-88).

 

78

Ed. cit., Notice, pp. 26-27.

 

79

«El modelo femenino en la novela española del siglo XVIII», Hispanic Review, 63/1 (invierno 1995), p. 16. Por las mismas razones, Martine Sonnet señala que «si l’alphabétisation des femmes reste toujours à la traîne de selle des hommes, c’est que leur instruction demeure pour la société un socci secondaire. La destinée féminine assujettie à une fonction reproductric e vitale pour une population qui ne maîtrise pas la survie de ses enfants conditionne les enjeux placés dans l’éducation des filles. Elles doivent á tout prix devenir mères, et puisquelles seront mères autant leur inculquer, afin qu’elles les transmettent, les valeurs religieuses et morales qui fondent le corps social. Les filles apprennent finalement à lire parce que la lecture fixe les enseignements de la religion, mais la société n’a pas besoin qu’elle s en sachent plus» («Une fille à éduquer» en G. DUBY y M. PERROT (dirs.), Histoire des femmes en Occident, III, N. ZEMON DAVIS y A. FARDE (dirs.), París, Plon, 1991, p. 139).

 

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F. RUBELLIN, ed. cit., Notice, pp. 24-25. Las jovencitas francesas solían educarse y casarse según los planes que su madre preparó para Paquita: «Généralement, le mariage de la jeune fille se faisait presque immédiatement au sortir du couvent, aves un mari accepté et agréé par la famille. Car le mariage était avant tout une affaire de famille, un arrangement au gré des parents que décidaient des considérations de position et d’argent, des convenances de rang et de fortune. Le choix était fait d’avance pour la jeune personne, qui n’était pas consultée» (J. y E. DE GONCOURT, La Femme au dixhuitième siècle, París, Flammarion, 1938, p. 20).